Appétence aux risques :
Afin d’évaluer les risques, il est nécessaire d’identifier (si possible collégialement) le niveau d’appétence aux risques de la collectivité qui réalise la cartographie. L’appétence au risque permet de déterminer le niveau de risque qu’une organisation considère comme acceptable pour atteindre ses objectifs, et par conséquent les risques qui seront conservés, réduits ou évités. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise appétence au risque. Ce qui importe c’est de se mettre d’accord sur un référentiel commun au sein de la collectivité.
L'appétence ne sera naturellement pas homogène, pour deux raisons :
On accepte mieux les risques que l'on connaît bien. Ils peuvent même être sous-estimés car considérés comme faisant partie de l'univers habituel dans lequel la collectivité a toujours su évoluer ;
On peut sous-estimer les risques que l'on ne connaît pas du tout, dont les enjeux ne sont pas perçus ;
La personne ou le groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques devra déterminer l'appétence acceptable pour chaque risque selon sa collectivité et ses particularités. Ainsi une collectivité pourra déterminer, par exemple, qu'un retour produit (achat de mobilier urbain, par exemple) pour non-conformité est inacceptable du fait des conséquences financières et d'image qu’il induit, lorsqu’une autre estimera de son côté ce risque acceptable.
L'appétence aux risques influe donc sur le positionnement des risques. Une réflexion collective au sein de la collectivité, aux expériences et visions croisées, permettra de mieux discerner les approches individuelles, ou parfois historiques propres à un territoire.
Afin d’évaluer les risques, il est nécessaire d’identifier (si possible collégialement) le niveau d’appétence aux risques de la collectivité qui réalise la cartographie. L’appétence au risque permet de déterminer le niveau de risque qu’une organisation considère comme acceptable pour atteindre ses objectifs, et par conséquent les risques qui seront conservés, réduits ou évités. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise appétence au risque. Ce qui importe c’est de se mettre d’accord sur un référentiel commun au sein de la collectivité.
L'appétence ne sera naturellement pas homogène, pour deux raisons :
On accepte mieux les risques que l'on connaît bien. Ils peuvent même être sous-estimés car considérés comme faisant partie de l'univers habituel dans lequel la collectivité a toujours su évoluer ;
On peut sous-estimer les risques que l'on ne connaît pas du tout, dont les enjeux ne sont pas perçus ;
La personne ou le groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques devra déterminer l'appétence acceptable pour chaque risque selon sa collectivité et ses particularités. Ainsi une collectivité pourra déterminer, par exemple, qu'un retour produit (achat de mobilier urbain, par exemple) pour non-conformité est inacceptable du fait des conséquences financières et d'image qu’il induit, lorsqu’une autre estimera de son côté ce risque acceptable.
L'appétence aux risques influe donc sur le positionnement des risques. Une réflexion collective au sein de la collectivité, aux expériences et visions croisées, permettra de mieux discerner les approches individuelles, ou parfois historiques propres à un territoire.
Cotation des risques :
La cartographie des risques doit permettre à la personne ou au groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques de se représenter visuellement et synthétiquement les risques majeurs susceptibles d’affecter gravement les objectifs et enjeux de sa collectivité. C’est une image à un instant T qui représente d’une manière globale et hiérarchisée les principaux risques de la collectivité, quelle que soit leur nature.
Pour réaliser cette image hiérarchisée, la personne ou le groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques va devoir évaluer chacun des risques.
La cartographie des risques doit permettre à la personne ou au groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques de se représenter visuellement et synthétiquement les risques majeurs susceptibles d’affecter gravement les objectifs et enjeux de sa collectivité. C’est une image à un instant T qui représente d’une manière globale et hiérarchisée les principaux risques de la collectivité, quelle que soit leur nature.
Pour réaliser cette image hiérarchisée, la personne ou le groupe chargé de piloter la démarche qualité/gestion des risques va devoir évaluer chacun des risques.
Pour chaque question il faudra coter (évaluer) le risque en fonction de deux échelles. Ses deux échelles sont cotées de 1 à 4.
- L’échelle d’impact évalue la conséquence en cas de survenance du risque.
1. Limité = Presque aucun impact.
2. Significatif = Impact peu conséquent.
3. Critique = Conséquence(s) importante(s) sur la collectivité ayant un effet négatif sur le bon fonctionnement de la collectivité.
4. Catastrophique = Danger de mort immédiat de la collectivité.
A noter que la cotation prend en compte les mesures mises en place par la collectivité qui permettent d’atténuer la conséquence de l’aléa. Ainsi, une collectivité ayant un risque d’incendie élevé du fait de la nature même de son activité, aura une évaluation d’impact plus faible si elle a mis en place des mesures pour limiter l’impact (sprinkler, portes coupe-feu, site de repli …)
- L’échelle de probabilité évalue la fréquence d’occurrence d’un risque.
1. Improbable = Cela n’est jamais arrivé et il n’y aucune chance que cela arrive.
2. Rare = Cela n’est jamais arrivé et il est peu probable que cela arrive.
3. Occasionnel = Cela est arrivé quelques fois et il est probable que cela arrive à nouveau.
4. Fréquent = Cela arrive régulièrement et cela va continuer d’arriver.
A noter que la cotation prend en compte les mesures mises en place pour limiter la survenance d’un risque. Ainsi, une collectivité ayant un risque d’incendie élevé du fait de la nature même de son territoire, aura une évaluation de fréquence plus faible si elle a mis en place des mesures pour limiter la survenance (permis feu, remplacement des produits inflammables par des produits incombustibles, DICRIM, …)
Représentation Graphique :
Une fois que vous avez répondu à toutes les questions du questionnaire, un diagnostic sous la forme d’un rapport PDF d’appréciation synthétique de la collectivité face à sa gestion des risques vous est délivré gratuitement en téléchargement.
Les graphiques résument l’ensemble des risques que vous avez côtés dans deux types de schéma.
Le premier « Evaluation de la maîtrise de risque par grand univers (base 100) », pondère et synthétise les cotations des risques par grand univers. Plus le graphique est proche de 100 moins l'univers est maîtrisé.
Evaluation de la maîtrise de risque par grand univers (base 100).
Ce graphique synthétise les cotations des risques par univers, plus de graphique est proche de 100 moins l'univers est maîtrisé.
Une fois que vous avez répondu à toutes les questions du questionnaire, un diagnostic sous la forme d’un rapport PDF d’appréciation synthétique de la collectivité face à sa gestion des risques vous est délivré gratuitement en téléchargement.
Les graphiques résument l’ensemble des risques que vous avez côtés dans deux types de schéma.
Le premier « Evaluation de la maîtrise de risque par grand univers (base 100) », pondère et synthétise les cotations des risques par grand univers. Plus le graphique est proche de 100 moins l'univers est maîtrisé.
Evaluation de la maîtrise de risque par grand univers (base 100).
Ce graphique synthétise les cotations des risques par univers, plus de graphique est proche de 100 moins l'univers est maîtrisé.
Le Second « Matrice des Risques » donne une représentation visuelle de l’ensemble des risques répartis en fonction de l’évaluation d’impact et de la probabilité. Il introduit l’échelle de gravité (probabilité x impact) qui réparti le nombre de risque en 4 grandes catégories (rouge, orange, jaune, vert).
Matrice des risques :
Vous pouvez ensuite parcourir, exploiter et diffuser aux personnes concernés la cinquantaine de pages du rapport qui reprend fidèlement vos différentes réponses aux questions.